Le succès d’une entente d’acheteurs tient avant tout au management des attentes des participants. Voici cinq lignes de conduite pour mettre toutes les chances de notre côté.
1 – Commencez par le plus simple. Trop de groupements d’acheteurs son victimes de leur ambition. Très vite, les membres sont déçus et se démobilisent. Gardez en mémoire que l’objectif est avant tout de simplifier le travail à des acheteurs qui sont surchargés. Aller à l’essentiel sans chercher à en faire une approche systématique. Comme à “sans atouts”, on commence par les plis gagnants.
2 – Viser des résultats rapides, à court terme. Les quick wins éviteront l’écueil cité précédemment. Qui plus est, l’objectif d’une entente d’acheteur est d’initier une nouvelle approche vis-à-vis d’un fournisseur. Ça marche surtout la première fois.
3 – Limiter l’entente à un seul sujet. L’erreur à éviter est de vouloir organiser, systématiser, être logique (mal français s’il en est…)
4 – Soyez opportuniste : on vit un jour à la fois ! Le principal intérêt d’une entente d’acheteurs est de changer l’angle d’attaque vis-à-vis d’un fournisseur trop sûr de lui. Tout le bénéfice vient de la nouveauté. Dès lors, faut-il espérer (souhaiter?) pérenniser une entente d’acheteurs ?
5 – Soyez le leader de l’entente. Cela découle logiquement des points précédents : un jour l’entente cessera…
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